Les écarts salariaux dans les grands groupes deviennent un risque RSE surveillé par les actionnaires

Est-ce un effet secondaire du creusement des inégalités sociales engendré par la crise sanitaire ? Cette année, les actionnaires semblent remontés contre les dirigeants des grands groupes et se rebellent comme jamais auparavant contre certaines des rémunérations jugées trop élevées. Les américains IBM, Starbucks ou encore General Electric en ont fait les frais, le montant des salaires des dirigeants ayant été retoqué en assemblée générale. Le britannique AstraZeneca, malgré la mise au point de son vaccin, a failli subir le même sort, la rémunération de Pascal Soriot, le directeur général, ayant enregistré près de 40 % de voix contre, un score élevé dans le monde des assemblées générales.
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