Dans le contexte de backlash écologique, l’intégration de critères RSE dans la rémunération des dirigeants reste stable

En 2025, 92 % des sociétés du SBF 120 ont intégré au moins un objectif relatif au climat ou à l’environnement dans la politique de rémunération de long et/ou court terme de leurs dirigeants, selon le baromètre IFA, Ethics & Boards et Chapter Zero France publié ce jeudi 30 octobre. La réduction des émissions, principal KPI retenu Dans le détail, 71 % des sociétés du SBF 120 intègrent des critères liés au climat ou à l’environnement dans la politique de rémunération variable à long terme, 78 % dans la politique de rémunération variable annuelle à court terme et 58 % des sondés ont intégré au moins un objectif de ce type dans la politique de rémunération sur les deux temporalités. En ce qui concerne les rémunérations long terme, 64 % des entreprises ont au moins un critère climat ou environnement quantitatif avec une valeur cible communiquée. Ce taux est stable par rapport à l’année dernière. Sur le court terme, elles sont 63 %, un chiffre en progression de deux points par rapport à 2024.
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