A la tête des entreprises du CAC 40, une lente féminisation

Pressentie pour prendre la direction d’Orange, Christel Heydemann pourrait devenir la deuxième femme à diriger une société du CAC 40. Parmi les 120 plus grosses entreprises françaises cotées, seules 14 comptent une femme à leur tête. Malgré cette féminisation encore restreinte, la France fait pourtant figure de bonne élève.
Deux femmes, peut-être trois, à la tête des 40 grands groupes français, quatorze en élargissant aux 120 plus grosses entreprises françaises cotées… La présence féminine en haut de l’échelle reste dérisoire. Pourtant Floriane de Saint Pierre refuse de verser dans le défaitisme. « En 2011, avant la loi Copé-Zimmermann (1), on ne comptait aucune femme directrice générale ou présidente de directoire parmi les sociétés du SBF 120. On en dénombrait cinq en 2017 et aujourd’hui quatorze, peut-être bientôt quinze », rappelle la présidente d’Ethics & Boards.
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