24/01/22
Deux femmes, peut-être trois, à la tête des 40 grands groupes français, quatorze en élargissant aux 120 plus grosses entreprises françaises cotées… La présence féminine en haut de l’échelle reste dérisoire. Pourtant Floriane de Saint Pierre refuse de verser dans le défaitisme. « En 2011, avant la loi Copé-Zimmermann (1), on ne comptait aucune femme directrice générale ou présidente de directoire parmi les sociétés du SBF 120. On en dénombrait cinq en 2017 et aujourd’hui quatorze, peut-être bientôt quinze », rappelle la présidente d’Ethics & Boards.
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