Les objectifs climat quantitatifs sur le long terme sont plus difficiles à atteindre

Exigence et transparence. Le climat est désormais pleinement intégré dans les politiques de rémunération des dirigeants du SBF 120, constate la quatrième édition du baromètre de l’Institut français des administrateurs (IFA), d’Ethics & Boards et de Chapter Zero France sur les objectifs climat dans la politique de rémunération des dirigeants du SBF 120. 
En 2024, 92% des sociétés du SBF120 déclarent intégrer au moins un objectif climat ou environnemental dans la politique de rémunération variable (78% pour le long terme, 83% pour le court terme et 68% pour les court et long termes), contre 80% en 2022. Toutefois, encore 20% des sociétés n’ont pas de critère environnemental, pour la rémunération de long terme, et 16% pour le bonus annuel. «Bien qu’intégrer des critères climat dans la politique de rémunération soit une pratique recommandée par les codes de gouvernance, chaque société doit pouvoir décider à quel moment et sous quelle forme. Et qu’elle ait ou pas un critère dans la rémunération, elle est tenue à communiquer ses objectifs et ses performances climat dans la CSRD», confie Monica de Virgiliis, présidente de Chapter Zero France, co-présidente du club nominations-rémunérations de l’IFA.
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