Quand deux têtes valent mieux qu'une : le pari de la codirection

La clé de voûte de la performance et de la pérennité d'une entreprise ? Sans conteste, son mode d'organisation du pouvoir. La dissociation des fonctions de PDG - en une direction générale d'une part, et une présidence du conseil d'administration de l'autre - qui se pratique déjà à 71% selon le baromètre conjoint de l'Institut français des administrateurs (IFA) et d'Ethics & Boards, répond à ce souci. Mais certaines entreprises, minoritaires, vont plus loin encore et optent pour une direction générale à deux têtes.  
Exercer le pouvoir en tandem ? Beaucoup n'y songent même pas, les périodes de crise requérant une unicité de commande et de leadership incarné. Pour quelques autres, c'est au contraire tout à fait bien indiqué afin de se donner toutes les chances de conduire avec succès un grand projet de transformation. Considérer l'idée d'une codirection est, pour eux, judicieux quand les soubresauts économiques et géopolitiques requièrent une multiplicité de talents face à autant d'imprévisibilité.
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