En 2010, les femmes représentaient 7% des membres des comités exécutifs et de direction du CAC 40
Selon le dernier baromètre de l'association Wave, les femmes s'octroient 39 % des places en conseil d'administration et 19,7 % de celles dans les comex-codir du secteur auto
À l'heure où le secteur bancaire subit de nouvelles secousses, un constat : en France, jamais une femme n'a dirigé de grande banque, ni n'en dirige aujourd'hui. Pourtant, historiquement et c'est encore le cas, cette profession est majoritairement féminine, sauf que ...
Elles sont de plus en plus nombreuses à embrasser une carrière dans le secteur automobile,
ENQUÊTE - Sous l’aiguillon de la loi, les grands groupes s’attachent à féminiser leurs instances de direction. Ils se montrent bien meilleurs élèves que les start-up.
On International Women’s Day, Ethics & Boards and ecoDa (of which the Institute of Directors is the UK representative) have published the European Gender Diversity Barometer. The Barometer shows that, while boards have taken into account the importance of diversity, much remains to be done at the executive leadership level.
Alors qu'il y a douze ans elles avaient une approche sacrificielle de leur vie privée, elles posent de plus en plus - comme les hommes - des conditions pour accepter les nominations.
46,4 % de femmes siègent aux conseils d’administration des sociétés du CAC 40 et 46,3 % au sein du SBF 120, selon l'étude 2023 IFA/Ethics & Boards. La France se démarque en Europe.
Selon le baromètre 2023 de la féminisation des instances dirigeantes du secteur automobile, les femmes occupent 39 % des sièges des conseils d’administration et 19,7 % de ceux des comex et codir. Dans l’industrie automobile européenne, la France se situe en avance.
En matière de représentativité des femmes aux postes de commande des entreprises, la France se distingue par rapport à ses voisins et/ou partenaires. Une véritable dynamique, à l'échelle à la fois des conseils d'administration et des comités exécutifs.
En cette journée de la femme rappelons une vérité qui fâche : malgré les paroles et les politiques publiques, la parité est encore un horizon lointain dans les directions générales des grandes entreprises françaises. Même si les choses changent peu à peu.
Jamais une femme n'a dirigé de grande banque en France, ni n'en dirige aujourd'hui. A quelques jours de la journée internationale des droits des femmes, le constat est sévère pour une profession pourtant majoritairement féminine.
Avant la journée internationale des droits des femmes, mercredi 8 mars, Le mot de l'éco sur penche sur l'égalité professionnelle entre femmes et hommes.
franceinfo
Selon une étude de l'Institut français des administrateurs et de Ethics & Boards, la France est bien placée dans la féminisation des instances dirigeantes des entreprises. Mais les objectifs de la "loi Rixain" du 24 décembre 2021 ne sont pas encore atteints.
Grâce à ses quotas, la France est toujours en 2023 en tête des grands pays européens en matière de féminisation des conseils d’administration. Et reste devant les États-Unis. Mais du côté des comités de direction, on est encore loin de la parité.
Les instances dirigeantes des entreprises françaises continuent de se féminiser, selon deux études parues jeudi. Pour autant, elles sont beaucoup plus présentes dans les conseils d'administrations que dans les comités exécutifs.
Dans le SBF 120, 13 femmes sont directrices générales, et 12 présidentes de conseil. Dans les comités exécutifs, les hommes sont toujours largement majoritaires, mais la parité progresse dans ces instances.
L’Institut français des administrateurs et Ethics & Boards se sont penchés pour la
deuxième année consécutive sur les chiffres de la mixité au sein des conseils
d’administration et des Comex/Codir des pays occidentaux
Quelle analyse tirez-vous des résultats de la cinquième édition du Gender Diversity Index ?
Il est intéressant de constater qu’en France les sociétés se montrent très volontaristes, transparentes et proactives sur les sujets de mixité dans les instances de gouvernance, tandis que cinq sociétés anglo-saxonnes saxonnes – américaines, mais aussi britanniques – ont indiqué ne pas souhaiter répondre.
La féminisation des organes de gouvernance d’entreprises progresse. Mais, au sein des Codir, Comex et dans les postes de direction, la parité est loin d’être atteinte. Une étude du réseau « Grandes Ecoles au Féminin » interroge les origines de ces disparités et les actions à prendre pour y remédier.